Eh oui, je suis collectionneuse de chouettes

J'en ai de toutes sortes de matières : bois, cristal, argent, résine, plastique, pierre, grès, métal, peluche, tissu
(celles en broderie c'est moi qui les ai faites,sauf le petit cadre rouge : c'est Lulu), de grosseurs différentes.

D'utilité différente :
Porte-clefs, collier, bracelet, boucles d'oreille, coupe papier, marque verre, livre, pin's, miroir.

J'en ai un peu partout dans la maison et dans le jardin aussi.
Je ne connais pas la quantité exacte que je possède, mais beaucoup : + de 100.

Petit chemin qui arrive au pigeonnier.

Le Pigeonnier, privilège seigneurial, aboli à la révolution, le colombier à pieds ou en fuie est un édifice isolé soit rond, soit carré.

Le pigeonnier de pouzay compte 2800 niches ou "boulins" et pouvait à l'époque loger environ 5000 pigeons.
Cet élevage intensif produisait également des engrais très recherché appelé "colombine".

Une corniche nettement en saillie empêchait rats et belettes de grimper le lond des murs pour pénétrer dans l'édifice par une des lucarnes.

Une echelle verticale, suspendue à des potences fixées sur un mat central pivotant sur sa base, permettait l'accès aux nids.

Des 5 pigeonniers de la commune de Béceleuf, 4 sont encore debout, dont celui de Pouzay qui est le seul accessible.

A l'intérieur.

A Béceleuf dans les Deux-Sèvres fut bati un pigeonnier. Laissé ensuite à l'abandon, le temps lui fit perdre son toit. Le hasard y fit pousser un chêne auquel personne ne prêta attention. L'arbre étant à son aise, il y poussa jusqu'à dépasser le pigeonnier, coiffant celui-ci de sa belle chevelure, et faisant de ce lieu un site unique.

Alliance du végétal et du minéral, Le chêne de Pouzay, classé parmi les 250 "arbres remarquables" de l'héxagone, mérite assurément le détour. De plus, les chemins de randonnée qui le bordent permettront aux marcheurs de découvrir cette région au cachet rural authentique.

J'ai remonté cet article trop peu vu.